Thursday, November 30, 2006

Wednesday, November 29, 2006

Travailler la culture

Pas, justement, un choix

My cup of coffee nurses me

Novembre calme















Forcer l'appareil à plier, d'une lumière à l'autre. Rentrer.
Le dedans dehors de cette étrange mi-saison. Et le blanc plat d'hiver maintenant. C'est chez moi.

Les pages, table rase

Tuesday, November 28, 2006

Crade

Les livides d'après-midi

Filtering - waiting for the light















This makes me feel good. Relaxes. Just the photography of it. Nothing special.

Des mondes

Monday coffee, sun

Sunday, November 26, 2006

Americana

Etranger, incognito - puis féroce

Vivisective















Je cherche, manifestement, la lumière dans la couleur. ça m'amène vers du noir et du blanc (le blanc épais, souvent crémeux crayeux donc, varié, étalé au maximum dans le spectre étroit du blanc. Utilisant les reliefs, par exemple). La photo en couleur, mais vers les profondeurs féroces. Du radical. Du désert, où s'ouvre la vie. The excitement of it!

Juste un journal















Mais je note quand même les noirs. C'est un intérêt, une veine, possible je pense par l'entrée dans la photographie numérique. L'appareil, et le passage à l'écran. Là, un brillant, un huileux. Bottomless.

Diurnal

Je me demande si je ne vais pas aller vers la vidéo. Comme photographie. (Je cherche une lame dans le temps, une dimension à ouvrir déplier, infime - on la coupe dans l'épaisseur d'une feuille de papier, d'une vitre - et étonnamment large à la fois. Ces dégagements). Parce qu’il s’agit du temps. Du temps de la lumière. De la façon dont le monde bouge vit par la lumière. Les saisons, les angles différents, très markedly. Et du journal : diurne.
Revolving lights (Dorothy Richardson). Les échanges, les implications. Comment le sens se fait se vit s'aime.

Saturday, November 25, 2006

Twin light, les échanges

Making-mine the afternoon declining















J'aime bien que la série des prises, comme publiée sur le blog, demande un accommodement. De lumière en lumière. Que ça ralentisse ; que ça laisse le temps à la lumière. J'aime bien que ce soit irritant de ne pas pouvoir filer à travers un ensemble. Que ça pause. Parfois il faut aller chercher loin ; et même dans une direction une dimension inattendue. ça prend le regard et l'emmène. Lui fait faire des choses.

L'hiver la lumière va très vite, très-précieuse

Livide















Le mat, le neutre, l'en-dedans, l'absorbé, des couleurs dans l'après-midi à l'automne. Les couleurs qui font voir la lumière. Détournent, rentrent le regard. Modèlent, assouplissent ou glacent, l'espace d'une chambre. The thrill of it. Qui laisse les muscles d'un coup relâchés. Comme de passer sur le Manhattan Bridge et voir la mer, ses lumières diverses. Maintenant plomb, l'eau lourde et lente, en grandes plaques mobiles, par exemple.

Tuesday, November 21, 2006

Sunday, November 19, 2006

Fabrique des peuples

Portrait par le travers

Gen














Un gen ça se photographie dans ses socialités. Par le travers et dans l'affairement des corps sociaux.

Dans Prospect Park un jour propice dans le calendrier chinois sans doute. Jour de prospérité. Jour des gens. ("Gens", c'est ce qui ne s'accentue pas. "Gentes and laitymen").

Là - (le noir blanc)

Quite another day

ça c'est ouvert comme un lac















(Remplir par de la place)

Saturday, November 18, 2006

Thursday, November 16, 2006

Wednesday, November 15, 2006