vie parallèle

demain mars

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une photo me fait l'effet d'un café

un coup d'existence, en société. Et les petits mystères de l'histoire, au ras. L'instant d'une naissance latente.

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scene

juste ça.

this here day

les parages

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Lumière, en boucle, de la neige. Les saisons photographiques.

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il s'agit de blocs, d'ensembles faits dans la photo - je veux bien le mot de Deleuze. Et pas du tout de couper. C'est : plein, au contraire. Comme un oeuf. Ni moins ni plus. Comme ça.

this morning

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simplement, between the acts.

incidental

la photographie comme mode de vie, vie.

portrait du jour

and "peopleless portraits" (Les Selsnick, Privates Spaces).

je cherche

Quelque chose, donc, avec les couleurs unies.
Puis l'envie de rentrer dans la lumière sourde. Les aplats - c'est donc la même chose, l'aplat et l'uni, par la couleur? et le on de biais aussi, un visage qui se fait indifféremment à un ou plusieurs corps, et en général autour des membres bras et jambes. Comment ça marche, ouf!, cette vitesse d'équivalence? - ne suffisent pas (à photographier).

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Ce qu'il y a, c'est qu'il faut rester au fin.

pas tout à fait ça ; vers

une passion pour certains mauvais goûts photographiques. Des plis juste un peu irritants à l'oeil cultivé, et où je vais fouiller écarter tenir sans savoir ni comment ni pour quoi, trusting only that I do seem to know something; to be looking for something. It is a something.

Et : pas justement une histoire de détail (cropping, couper, trancher, les têtes en particulier), mais de plein. D'évidence. C'est là que la photographie commence, et là que le malentendu bifurque.

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quelque chose avec les couleurs - puisqu'il n'y en a pas

Beckett.

je cherche des choses que je sais

dans les déserts.

I want to know

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attention

les mondes, plusieurs

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les journées radicales

stage

tiens, on me voit. ça m'étonne.
Et : il faut très peu pour un visage, très très peu. Pas même un morceau de visage.

les passions fines

so, drama

New York drama

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public (sa danse)

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mer, verre, photographie

vois

contemporary

Bostonians

fête

je peux vivre ça

on pourrait l'appeler le Japon

Et Whistler. Ses gris, et le monde qu'ils ouvrent. Japonisant.
Il faut la patience de faire cette entrée ; la porte est étroite ; on s'y faufile lentement.